Sur le lien ci-dessous, un article sur la forêt de la Ste Baume.
http://assoc.pagespro-orange.fr/afsmm/stebaume.htm
C'est une plante des lieux humides, la corolle jaune pâle se termine par cinq petits lobes recourbés.
20 à 50 cm, sa floraison a lieu de mars à juin.
Les feuilles sont à peine décurrentes sur la tige.
Son nom consoude lui vient de ses vertus médicinales. Elle était utilisée pour accélérer la consolidation des fractures.
Euphorbe commune dans les bois. La première année, seules des feuilles se forment en haut de la tige. Elles persistent pendant l'hiver. Au printemps suivant, une tige fleurie se développe. Sa couleur vert clair contraste avec les feuilles plus sombres de l'année précédente.
Ils ne sont pas tous comme celui-ci qui doit nourrir des insectes pour les pics verts.
La forêt est constituée d'arbres de très belle taille, des hêtres, des ifs, même des houx de belle section et bien d'autres essences.
Nous montons vers la grotte aux œufs par un sentier, parfois un peu escarpé.
Je profite d'une trouée dans la végétation pour prendre une photo de l'hôtellerie.
http://hotellerie.sainte-baume.org/Accueil/Accueil.html
Tous les renseignements pour l'accueil, les tarifs etc... sont sur le site.
Quelques pas à l'intérieur, je ne vais pas plus loin car après le goulet, le sol est en forte pente et glissant.
Nous reprenons notre sentier en sens inverse, pour aller reprendre celui qui va nous mener au Pas de la Cabre.
Nous ne sommes plus qu'à quelques centaines de mètres du passage du Pas de la Cabre, le sentier est escarpé dans les passages rocheux.
De la famille des Fumariacées
Cette petite plante se trouve dans les bois et les prairies ombragés, entre 200 et 2000 mètres, elle fleurit de mars à avril.
Nous venons de passer le Pas, maintenant nous sommes sur la crête et nous partons vers l'est. Rapidement, nous trouvons un bon emplacement pour pique-niquer.
Espèce qui croît dans la rocaille des régions méditerranéennes. De 400 à 2500m, sa floraison est d'avril à août.
Les feuilles sont semi-cylindriques, ciliées sur les bords. Les fleurs blanches deviennent rougeâtres en vieillissant. Les pétales extérieurs sont 1,5 à 2 fois plus longsque les intérieurs.
Après notre pique-nique, nous repartons vers l'est, nous passons par le St Pilon, un petit arrêt pour la chapelle et la table d'orientation.
Après le col du St Pilon, sur un escarpement rocheux à gauche du GR, une plaque rappelle la mort d'un chanoine après une chute.
Nous continuons vers le Joug de l'Aigle, le ciel s'obscurcit.
Nous nous approchons du Joug de l'Aigle, derrière nous, vers l'ouest, une vue de la chaîne de la Ste Baume jusqu'au pic de Bertagne à l'extrémité O. ( Il est bien repérable avec ses antennes)
Nous montons jusqu'au Joug de l'Aigle, au sommet, à 1148 mètres, nous avons une vue à l'est sur le signal des Béguines, lui aussi à 1148m. Nous enfilons les ponchos, la pluie mêlée de grêle tombe.
Plus question de faire des photos, nous retournons au col du St Pilon pour une descente sous la pluie jusqu'aux véhicules.
C'est néanmoins une belle randonnée.
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