Notre départ de Luminy.
Après nous être garés aux alentours de Campagne Pastré, nous avons rejoint notre point de départ Luminy par autocar.
Une feuille de route à faire tamponner aux quatre points de contrôle, un ruban bleu accroché au sac, un beau tee-shirt critérium des calanques et nous voilà partis vers notre premier contrôle et ravitaillement.
Le Mont Puget.
Nous quittons Luminy par le sud, sur notre gauche nous voyons le Mont Puget avec son sommet à 563mètres.
Le massif des Calanques c'est de la montagne, sans exagération Marseillaise.
La mer est à 1200 m du sommet soit près de 47% de pente.
La Grande Candelle.
Nous marchons au S.S.E vers la Calanque de Morgiou, sur notre gauche, à l'est de la calanque de Morgiou, la Grande Candelle haute de 465 mètres est située à 300 mètres du rivage.
Calanque de Morgiou.
Après une vue sur Morgiou, notre itinéraire tourne vers l'ouest, c'est le GR 51 jusqu'au col de Morgiou.
Dommage, le ciel est gris et il continue de s'obscurcir.
Après le premier contrôle.
Nous venons de passer le premier contrôle en coupant la route de Morgiou, et nous allons vers le col des Beaumettes pour le deuxième.
Beaucoup de monde sur le sentier, au total plus de 750 participants.
Les Îles
Après avoir passés le deuxième contrôle, nous avons la pluie, la visibilité se réduit et nous marchons vers le col des Beaumettes.
Une vue dans les gris sur l'île Riou et l'île Calsereigne ou Plane.
Vers 13 heures, la pluie s'arrête, c'est l'occasion de chercher un endroit pour le pique-nique.
Calanque de Sormiou.
Les endroits propices sont rares, nous quittons le sentier pour un pied de falaise en pente, pas l'idéal pour manger, mais nous avons une belle vue sur la Calanque de Sormiou.
Malgré l'inconfort et le critérium, nos us et coutumes sont conservés, donc quelques douceurs solides et liquides sont partagées pour accompagner notre pique-nique.
Les Îles.
Le temps se dégage et notre visibilité est meilleure, nous avons une meilleure vue sur l'île et ses rochers.
Cap Canaille.
Vers l'est, nous voyons Cap Canaille situé entre Cassis et la Ciotat.
Les falaises de cette barre rocheuse atteignent 416m, elles sont parmi les plus hautes d'Europe.
Nous repartons vers notre troisième contrôle, et nous avons un temps limite pour l'atteindre.
Descente
Notre troisième contrôle est situé à la Calanque de Marseilleveyre. Notre itinéraire nous fait passer au pied du Cirque des Walkyries avec une belle descente sur un sentier en lacets.
Tête et aiguille de la Melette.
Notre circuit continue par le Cirque de la Bougie où nous sommes sous L'Aiguille et la Tête de la Melette .
Calanque de Podestat.
Sur cette photo, nous sommes au vallon de Podestat au-dessus de la Calanque du même nom..
Calanque de Podestat.
Le sentier descend presque jusqu'au rivage, face à nous, un effondrement récent.
Après le Podestat, le sentier remonte sur le vallon des Queyrons au-dessus de la petite calanque du même nom.
Île de Jarre.
Du vallon du Queyrons, une vue sur l'Île de Jarre et l'île Jarron. ( Il faut un très petit bateau pour passer entre les deux îles).
Calanque de Marseilleveyre.
Nous arrivons en vue de notre troisième contrôle.
C'est dans cette calanque que nous nous étions baignés lors de la rando de reprise en septembre, l'occasion d'évoquer quelques souvenirs.
Troisième contrôle.
De là, nous allons remonter au col de la Selle par le plan des Cailles et un sentier entre le Grand Malvallon et le Petit Malvallon.
1500 mètres jusqu'au col à 275 mètres d'altitude, le sentier part de 13 mètres, d'abord en pente douce puis très marquée sur les derniers 500 mètres.
Du Col de La Selle.
Vue sur Marseille.
Au col, le dernier tampon sur notre carton, une petite halte et nous commençons une grande descente pour rejoindre Campagne Pastré.
Bois de la Selle.
Notre descente se fait à travers le bois de la Selle, le sentier longe les falaises de la Grotte Roland. A hauteur du centre de formation, nous coupons le canal de Marseille, à ce niveau, nous longeons le canal jusqu'à l'arrivée à Campagne Pastré.
Nous retrouvons notre courageux collègue qui a réalisé le 32km, il nous avait déjà salué lors de notre pique-nique (nous mangions, il marchait).
Nous remettons nos cartons dûment tamponnés, un "Diplôme d'Honneur" pour nos 16km et 600m de dénivelé effectués, nous est remis en échange.
Boissons et grignotages, puis nous regagnons nos véhicule.
Parmi les 800 participants du critérium, nous étions tout de même 27 de notre association, il en restera de bons souvenirs et l'épisode pluvieux était déjà oublié dès le début du pique-nique.
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dimanche 28 février 2010
mercredi 24 février 2010
De Regalon à Mérindol mardi 23 fevrier 2010
Notre départ est le parking du Regalon, notre premier obstacle est le ruisseau qu'il faut traverser, d'ordinaire, c'est plus un fossé à sec.
Nous allons vers l'est par un sentier qui monte vers le Gros Mourre.
Sur notre droite, les Isles de la Durance et dans le fond le massif du Talagard.
Les ruisseaux qui descendent du Luberon, bien souvent sans eau sont actuellement pourvus d'un débit que l'on n'avait pas vu depuis longtemps.
Nous marchons vers le vieux Mérindol.
Une traversée de "bancau" pour rejoindre les ruines du château de Mérindol.
Nous arrivons aux ruines par le côté N.O. du château.
Depuis les ruines, une vue vers le sud, le village de Mérindol, la Durance, et au fond la chaîne des Côtes et le Talagard.
http://www.luberonweb.com/luberon/Merindol/
Avec le lien ci-dessus, quelques explications sur le mémorial Vaudois.
Notre retour s'effectue par des chemins en sous-bois, Sabatier, Le Grand Champeau, Le Petit Champeau, les sols regorgent d'eau, sur les petits ruisseaux, le moindre obstacle occasionne une mare.
Cette photo est prise à hauteur du ravin de Sabatier;
Le hameau de Petit Champeau avec un curieux cyprès, une forme en boule ce qui n'est vraiment pas courant.
Peut-être est-ce dû à des tailles du fait de sa proximité avec le poteau électrique? En tout cas, c'est pas courant sans jeu de mots.
Ruines de, Les Cachots, juste avant celles-ci, nous quittons la piste au profit d'un sentier sur notre gauche. Ce sera un retour sur un sol où l'eau par endroit sort de terre.
Ce n'est pas fréquent dans notre région, à croire que la nappe phréatique va déborder, enfin n'exagérons pas.
Notre sentier débouche à la ferme de la Tuilière et une centaine de mètres plus loin, nous sommes au parking du Régalon.
Là aussi, l'eau coule abondamment à la sortie des gorges du régalon.
Des chaussures à nettoyer après ces 9 km5 et trois heures de marche avec un petit dénivelé cumulé de moins de 300 M.
Nous allons vers l'est par un sentier qui monte vers le Gros Mourre.
Sur notre droite, les Isles de la Durance et dans le fond le massif du Talagard.
Les ruisseaux qui descendent du Luberon, bien souvent sans eau sont actuellement pourvus d'un débit que l'on n'avait pas vu depuis longtemps.
Nous marchons vers le vieux Mérindol.
Une traversée de "bancau" pour rejoindre les ruines du château de Mérindol.
Nous arrivons aux ruines par le côté N.O. du château.
Depuis les ruines, une vue vers le sud, le village de Mérindol, la Durance, et au fond la chaîne des Côtes et le Talagard.
http://www.luberonweb.com/luberon/Merindol/
Avec le lien ci-dessus, quelques explications sur le mémorial Vaudois.
Notre retour s'effectue par des chemins en sous-bois, Sabatier, Le Grand Champeau, Le Petit Champeau, les sols regorgent d'eau, sur les petits ruisseaux, le moindre obstacle occasionne une mare.
Cette photo est prise à hauteur du ravin de Sabatier;
Le hameau de Petit Champeau avec un curieux cyprès, une forme en boule ce qui n'est vraiment pas courant.
Peut-être est-ce dû à des tailles du fait de sa proximité avec le poteau électrique? En tout cas, c'est pas courant sans jeu de mots.
Ruines de, Les Cachots, juste avant celles-ci, nous quittons la piste au profit d'un sentier sur notre gauche. Ce sera un retour sur un sol où l'eau par endroit sort de terre.
Ce n'est pas fréquent dans notre région, à croire que la nappe phréatique va déborder, enfin n'exagérons pas.
Notre sentier débouche à la ferme de la Tuilière et une centaine de mètres plus loin, nous sommes au parking du Régalon.
Là aussi, l'eau coule abondamment à la sortie des gorges du régalon.
Des chaussures à nettoyer après ces 9 km5 et trois heures de marche avec un petit dénivelé cumulé de moins de 300 M.
lundi 22 février 2010
La tour des Opies dimanche 22 février 2010
Château d'Aureille.
Une photo des ruines du château prise depuis le parking.
Notre point de départ est le parking du cimetière d'Aureille.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Aureille.
Ci-dessus un lien pour explications sur le village.
Les Alpilles les Civadières
Nous empruntons un chemin vers l'est, rapidement, nous rencontrons le GR6 que nous prenons à gauche.
Face à nous, la barre rocheuse des Civadières.
Les Civadières et les Opies.
Nous marchons N.N.E. sur le GR 6 que nous abandonnons au profit d'un sentier sur notre droite. Il va nous permettre de monter rejoindre le col de Valdelègue. Le sentier qui monte entre les deux barres rocheuses est bien encombré, cette partie des Alpilles a subi
un incendie il y a quelques années et l'épisode neigeux de ce début d'année a occasionné beaucoup de casse.
Col de Valdelègue.
Le col de Valdelègue, c'est l'occasion d'une petite halte et la séparation du groupe avec trois options.
- 1: Attendre au col, pour descendre ensuite avec l'option2.
- 2: Monter au sommet et redescendre au col pour descendre ensuite par le vallon de Valdelègue, pour retrouver le troisième groupe.
- 3: Après le sommet, une désescalades dans une sente en descente rapide à travers des buissons pour rejoindre les options 1 et 2 à un carrefour.
Montée à la tour des Opies
Le sentier qui sera de plus en plus pierreux puis rocheux pour atteindre le sommet.
La tour des Opies
Une montée de 150 mètres depuis le col, quelques rochers passés en quadrupède et nous voici à la tour, a 498m.
Un ciel clair et une bonne visibilité pour un tour d'horizon sur 360°
Au sud jusqu'à la mer, la camargue. A l'ouest ,les Cévennes, les monts de Lozère et d'Ardèche. Au nord le Ventoux et les montagnes de la Drôme. A l'est, les Alpes
Vue sud-est à nord-est.
Le Chiran et Montdenier distants de 120 km sont bien visibles et derrière eux, les Alpes recouvertes de neige.
Descente (option 3).
Notre descente entre les petites falaises par une sente un peu broussailleuse.
Descente.
Pas de point de vue dans cette sente entre falaises, pierres et buissons, mais une agréable marche un peu sportive.
Jonction
Nous sommes en attente au point de jonction, les participants de l'option 1 et 2arrivent par le sentier du vallon de Valdelègue.
Nous prenons ensemble le sentier direction E. SE. à la recherche d'un coin pour le pique-nique.
Mont Menu.
Après le pique-nique, nous sortons du bois, face à nous le bien nommé Mont Menu.
Nous prenons à droite la piste direction sud, par le vallon des Glauges en longeant la barre rocheuse de Coste Fère.
Au domaine des Glauges (vignoble) nous prenons à droite une légère remontée puis direction O. S.O. pour rejoindre le GR6.
La piste GR6
Plus aucune difficulté sur cette piste large sans réelles montées.
Bergerie ruinée.
Un moment d'observation devant cette bergerie ruinée, mais un bel exemple des constructions en pierre réalisées avec les matériaux locaux.
Taureaux Camarguais.
Un peu avant l'arrivée, sur notre droite, un élevage de "toros" Camarguais.
Preneur d'images en action.
A la recherche d'un support pour la photo de groupe à la tour.
Une photo des ruines du château prise depuis le parking.
Notre point de départ est le parking du cimetière d'Aureille.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Aureille.
Ci-dessus un lien pour explications sur le village.
Les Alpilles les Civadières
Nous empruntons un chemin vers l'est, rapidement, nous rencontrons le GR6 que nous prenons à gauche.
Face à nous, la barre rocheuse des Civadières.
Les Civadières et les Opies.
Nous marchons N.N.E. sur le GR 6 que nous abandonnons au profit d'un sentier sur notre droite. Il va nous permettre de monter rejoindre le col de Valdelègue. Le sentier qui monte entre les deux barres rocheuses est bien encombré, cette partie des Alpilles a subi
un incendie il y a quelques années et l'épisode neigeux de ce début d'année a occasionné beaucoup de casse.
Col de Valdelègue.
Le col de Valdelègue, c'est l'occasion d'une petite halte et la séparation du groupe avec trois options.
- 1: Attendre au col, pour descendre ensuite avec l'option2.
- 2: Monter au sommet et redescendre au col pour descendre ensuite par le vallon de Valdelègue, pour retrouver le troisième groupe.
- 3: Après le sommet, une désescalades dans une sente en descente rapide à travers des buissons pour rejoindre les options 1 et 2 à un carrefour.
Montée à la tour des Opies
Le sentier qui sera de plus en plus pierreux puis rocheux pour atteindre le sommet.
La tour des Opies
Une montée de 150 mètres depuis le col, quelques rochers passés en quadrupède et nous voici à la tour, a 498m.
Un ciel clair et une bonne visibilité pour un tour d'horizon sur 360°
Au sud jusqu'à la mer, la camargue. A l'ouest ,les Cévennes, les monts de Lozère et d'Ardèche. Au nord le Ventoux et les montagnes de la Drôme. A l'est, les Alpes
Vue sud-est à nord-est.
Le Chiran et Montdenier distants de 120 km sont bien visibles et derrière eux, les Alpes recouvertes de neige.
Descente (option 3).
Notre descente entre les petites falaises par une sente un peu broussailleuse.
Descente.
Pas de point de vue dans cette sente entre falaises, pierres et buissons, mais une agréable marche un peu sportive.
Jonction
Nous sommes en attente au point de jonction, les participants de l'option 1 et 2arrivent par le sentier du vallon de Valdelègue.
Nous prenons ensemble le sentier direction E. SE. à la recherche d'un coin pour le pique-nique.
Mont Menu.
Après le pique-nique, nous sortons du bois, face à nous le bien nommé Mont Menu.
Nous prenons à droite la piste direction sud, par le vallon des Glauges en longeant la barre rocheuse de Coste Fère.
Au domaine des Glauges (vignoble) nous prenons à droite une légère remontée puis direction O. S.O. pour rejoindre le GR6.
La piste GR6
Plus aucune difficulté sur cette piste large sans réelles montées.
Bergerie ruinée.
Un moment d'observation devant cette bergerie ruinée, mais un bel exemple des constructions en pierre réalisées avec les matériaux locaux.
Taureaux Camarguais.
Un peu avant l'arrivée, sur notre droite, un élevage de "toros" Camarguais.
Preneur d'images en action.
A la recherche d'un support pour la photo de groupe à la tour.
jeudi 18 février 2010
Bormes les Mimosas 18 fevrier 2010
Un parcours en autocar depuis Salon-de-Provence pour 2h30 plus tard nous trouver dans les rues de Bormes les Mimosas.
Bien que Bormes est subi comme nous un hiver qui se prolonge, la couleur jaune est présente, avec un peu de retard, mais ne nous plaignons pas aujourd'hui, nous avions 10° au départ de Salon à 7H30.
Office du Tourisme.
Du parking où le car nous a laissés, nous sommes descendus devant l'office du tourisme
Là une personne de l'office nous a accueilli pour nous accompagner dans une visite guidée du village.
Mimosa Acacia dealbata Nous sommes descendus par le boulevard de la République, les mimosas sont nombreux et apportent leur couleur de février à mars, mais de nombreuses espèces de plantes, arbustes et arbres sont présents afin d'assurer une floraison pour toutes les saisons.
Cycas revoluta .originaire du Japon.
Bormes est élevé au titre de village fleuri, "4fleurs", Ils font le nécessaire pour conserver cette haute distinction, tous les espaces pouvant recevoir des plantes sont utilisés.
La douceur du climat leur permet la présence de nombreuses espèces exotiques.
Bormes les Mimosas.
Depuis le boulevard de la République, une vue sur le vieux village du XII ème siècle, dominé par le château des seigneurs de Fos.
Chapelle Saint-François.
Une visite de la chapelle Saint François de Paule, édifiée en 1560 en hommage à Saint François de Paule qui délivra le village de la peste en 1481.
De la chapelle, nous repartons par la draille des Bredouilles pour rejoindre la partie XII ème siècle du village.
Oxalis pes-caprae. Oxalis pied de chèvre.
C'est une plante originaire du Cap, naturalisée en Provence où elle croît dans les cultures et les lieux incultes. Sa floraison va de novembre à mai.
Celle-ci pousse le long de la Draille des Bredouilles. Ce petit chemin pittoresque ( chemin autrefois, emprunté par les chasseurs malchanceux) longe les anciens remparts.
Vestige d'un moulin à vent.
Les vieilles constructions sont construites en pierres de Bormes (Micaschiste).
Le chemin qui longe les remparts est bordé de végétation méditerranéenne, nicotinia, figuiers de Barbarie, faux poivriers, cannes de Provence etc.
Place de l'Isclou d'amour.
Placette aménagée en 1999, avec derrière les bancs, un jardin d'espèces Australiennes et d'Afrique du Sud.
Les Îles d'or.
Depuis la placette, une vue sur les îles d'or ( elles sont surnommées les îles d'or à cause du mica scintillant de leurs roches).
Île de Port Cros, Du Levant, de Porquerolles.
Dietes bicolor.
Dans le jardinet de la placette d'Isclou d'Amour, une plante de la famille des Iridacées originaire d'Afrique du Sud.
Notre visite du village continue par des ruelles.
Place Lou Poulid Cantoun. (joli coin)
Une jolie place, avec des maisons à l'architecture médiévale, des vestiges de remparts et une profusion végétale: Bougainvillées, faux poivrier, caoutchouc géant....
Nous continuons notre visite en passant des Cuberts (passage couvert sous une maison).
Rue Rompi Cuou.
Nous débouchons sur la rue Carnot, rue principale, commerçante qui sépare la partie médiévale et la partie 16ème siècle du village.
Nous sommes face à la rue Rompi Cuou (casse-cul en Provençal).
150 mètres et 83 marches.
Nous ne l'empruntons pas et remontons à gauche la rue Carnot
Rue Carnot.
Nous remontons cette rue pour rejoindre l'église Saint Trophyme.
Eglise Saint Trophyme.
Construite entre 1775 et 1783 dans un style d'inspiration romane. Son parvis et son cadran solaire furent offerts par le président Georges Pompidou. Elle est fréquentée par les Présidents de la République lors de leurs séjours au fort de Bregançon situé sur la commune de Bormes à la pointe du petit hameau de Cabasson.
Eglise Saint Trophyme.
Une restauration intérieure effectuée en 1999.
Cadran solaire.
Il indique près de onze heures au soleil, en fait il est 11h56, le temps de rejoindre le car qui va nous conduire au restaurant sur le port du Lavandou.
Un repas très agréable dans un joli cadre.
Puis le car va nous conduire aux pépinières pour une visite commentée sur le mimosa.
Mimosas. Acacia
Une tenue adaptée à la couleur de l'arbre.
La visite des serres et beaucoup d'explications sur les espèces de mimosas ( environ 1200 espèces dont 700 d'Australie).
Après toutes ces explications et conseils, quelques adoptions de mimosas, pardon Acacia qui seront rangés avec soin par le chauffeur pour une remontée vers notre pays froid la Provence. Hé oui pour un Parisien Salon c'est chaud mais pour les gens de Bormes c'est froid.
Eucalyptus.
Encore un Australien implanté dans cette région au climat doux.
Bien sûr que la mi-février même à Bormes, ce n'est pas la meilleure période pour les floraisons. Aussi il sera nécessaire de revenir en mai ou juin pour visiter le jardin botanique, le jardin lou pitchounet, le parc Gonzales et le parc municipal qui recèlent tous de belles collections de plantes et d'arbres.
Bien que Bormes est subi comme nous un hiver qui se prolonge, la couleur jaune est présente, avec un peu de retard, mais ne nous plaignons pas aujourd'hui, nous avions 10° au départ de Salon à 7H30.
Office du Tourisme.
Du parking où le car nous a laissés, nous sommes descendus devant l'office du tourisme
Là une personne de l'office nous a accueilli pour nous accompagner dans une visite guidée du village.
Mimosa Acacia dealbata Nous sommes descendus par le boulevard de la République, les mimosas sont nombreux et apportent leur couleur de février à mars, mais de nombreuses espèces de plantes, arbustes et arbres sont présents afin d'assurer une floraison pour toutes les saisons.
Cycas revoluta .originaire du Japon.
Bormes est élevé au titre de village fleuri, "4fleurs", Ils font le nécessaire pour conserver cette haute distinction, tous les espaces pouvant recevoir des plantes sont utilisés.
La douceur du climat leur permet la présence de nombreuses espèces exotiques.
Bormes les Mimosas.
Depuis le boulevard de la République, une vue sur le vieux village du XII ème siècle, dominé par le château des seigneurs de Fos.
Chapelle Saint-François.
Une visite de la chapelle Saint François de Paule, édifiée en 1560 en hommage à Saint François de Paule qui délivra le village de la peste en 1481.
De la chapelle, nous repartons par la draille des Bredouilles pour rejoindre la partie XII ème siècle du village.
Oxalis pes-caprae. Oxalis pied de chèvre.
C'est une plante originaire du Cap, naturalisée en Provence où elle croît dans les cultures et les lieux incultes. Sa floraison va de novembre à mai.
Celle-ci pousse le long de la Draille des Bredouilles. Ce petit chemin pittoresque ( chemin autrefois, emprunté par les chasseurs malchanceux) longe les anciens remparts.
Vestige d'un moulin à vent.
Les vieilles constructions sont construites en pierres de Bormes (Micaschiste).
Le chemin qui longe les remparts est bordé de végétation méditerranéenne, nicotinia, figuiers de Barbarie, faux poivriers, cannes de Provence etc.
Place de l'Isclou d'amour.
Placette aménagée en 1999, avec derrière les bancs, un jardin d'espèces Australiennes et d'Afrique du Sud.
Les Îles d'or.
Depuis la placette, une vue sur les îles d'or ( elles sont surnommées les îles d'or à cause du mica scintillant de leurs roches).
Île de Port Cros, Du Levant, de Porquerolles.
Dietes bicolor.
Dans le jardinet de la placette d'Isclou d'Amour, une plante de la famille des Iridacées originaire d'Afrique du Sud.
Notre visite du village continue par des ruelles.
Place Lou Poulid Cantoun. (joli coin)
Une jolie place, avec des maisons à l'architecture médiévale, des vestiges de remparts et une profusion végétale: Bougainvillées, faux poivrier, caoutchouc géant....
Nous continuons notre visite en passant des Cuberts (passage couvert sous une maison).
Rue Rompi Cuou.
Nous débouchons sur la rue Carnot, rue principale, commerçante qui sépare la partie médiévale et la partie 16ème siècle du village.
Nous sommes face à la rue Rompi Cuou (casse-cul en Provençal).
150 mètres et 83 marches.
Nous ne l'empruntons pas et remontons à gauche la rue Carnot
Rue Carnot.
Nous remontons cette rue pour rejoindre l'église Saint Trophyme.
Eglise Saint Trophyme.
Construite entre 1775 et 1783 dans un style d'inspiration romane. Son parvis et son cadran solaire furent offerts par le président Georges Pompidou. Elle est fréquentée par les Présidents de la République lors de leurs séjours au fort de Bregançon situé sur la commune de Bormes à la pointe du petit hameau de Cabasson.
Eglise Saint Trophyme.
Une restauration intérieure effectuée en 1999.
Cadran solaire.
Il indique près de onze heures au soleil, en fait il est 11h56, le temps de rejoindre le car qui va nous conduire au restaurant sur le port du Lavandou.
Un repas très agréable dans un joli cadre.
Puis le car va nous conduire aux pépinières pour une visite commentée sur le mimosa.
Mimosas. Acacia
Une tenue adaptée à la couleur de l'arbre.
La visite des serres et beaucoup d'explications sur les espèces de mimosas ( environ 1200 espèces dont 700 d'Australie).
Après toutes ces explications et conseils, quelques adoptions de mimosas, pardon Acacia qui seront rangés avec soin par le chauffeur pour une remontée vers notre pays froid la Provence. Hé oui pour un Parisien Salon c'est chaud mais pour les gens de Bormes c'est froid.
Eucalyptus.
Encore un Australien implanté dans cette région au climat doux.
Bien sûr que la mi-février même à Bormes, ce n'est pas la meilleure période pour les floraisons. Aussi il sera nécessaire de revenir en mai ou juin pour visiter le jardin botanique, le jardin lou pitchounet, le parc Gonzales et le parc municipal qui recèlent tous de belles collections de plantes et d'arbres.
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